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Démenti de la famille TOMO NGUEMA suite à la lettre ouverte adressé au M. Teodoro OBIANG NGUEMApublicado por: Jung Uwe el 05/05/2003 14:23:28 CET Acabamos de recibir un email pidiéndonos publicar el siguiente texto como rectificación a un artículo recientemente publicado en esta sección de noticias de GuineaEcuatorial.net. Adjuntamos los datos técnicos del email para así evitar dudas acerca de la procedencia del mismo. Received: from krecos-nt1 ([195.158.54.155]) by mail.krecos.de (Merak 5.4.2) with ESMTP id CQA74116 for Subject: =?iso-8859-1?Q?Droit_de_r=E9ponse?= Sender: ”=?iso-8859-1?Q?Cipriano_TOMO_NGUEMA_?=” From: ”=?iso-8859-1?Q?Cipriano_TOMO_NGUEMA_?=” Date: Mon, 5 May 2003 13:21:10 +0200 To: ”=?iso-8859-1?Q?info@guineaecuatorial=2Enet?=” X-Priority: 3 X-MSMail-Priority: Normal Content-Transfer-Encoding: Quoted-Printable MIME-Version: 1.0 X-USER_IP: 193.251.153.16 X-Mailer: JMail 4.3.1 by Dimac X-AVISO: =?iso-8859-1?Q?Este_email_fue_enviado_desde_la_pagina_web_de_www=2Eguineaecuatorial=2Enet=2E_El_contenido_de_este_mensaje_no_refleja_necesariamente_la_opinion_de_la_redaccion_de_este_pagina=2E__Rogamos_que_nos_informen_sobre_cualquier_caso_de_abuso_a_traves_de_info@guineaecuatorial=2Enet?= Content-Type: text/html Démenti de la famille TOMO NGUEMA suite à la lettre ouverte adressé au M. Teodoro OBIANG NGUEMA Supposé être écrite par Mme Maria - Corona TOMO NGUEMA – ATE Mes frères et moi-même, avons été consternés en lisant cet article de votre site. L’auteur doit certainement connaître un peu l’histoire de notre famille car, il manie suffisamment de inexactitude ces données. Mais ne sachant qui est le vrai auteur de cet article, il est judicieux que je me présente afin de lui permettre de comprendre de quel droit je me permet d’exercer ce droit de réponse. Je m’appelle Cipriano José TOMO NGUEMA, économiste spécialisé en relations économiques internationales, je suis par ailleurs Ingénieur des centrales, réseaux et systèmes ; 46 ans et je suis l’aîné de ma famille. Elle même composé de cinq frères et trois sœurs dont Pelagia ABESO TOMO – Ingénieur Agronome, Sous - Directrice Général de IMPAGE à Bata ; José ABESO TOMO – Economiste en poste à la Direction Générale de l’ASECNA à Dakar ; Teodoro TOMO NGUEMA Ingénieur des transports dirige une Compagnie Aérienne ( AGE ) ; Sergio Esono ABESO TOMO – Avocat d’affaires de son état, responsable de la cellule du FED au Ministère du Patrimoine de l’Etat et du Budget ; les deux dernières une fille et un garçon sont actuellement dans leur dernière année de formation à Niamey elle comme contrôleur aérien et lui comme technicien supérieur en électronique et informatique. De ce lot, seule Corona, troisième dans le rang, n’a pu se former ; elle s’étant marié, contre mon avis, toute jeune. Et cet en cela qu’elle se « démarque » du reste de la famille. Mon père, lui – même Enseignant, est décédé depuis 1989. Or, bien qu’elle soit ex – épouse d’un diplomate, je suis étonné du « vrai » français manié dans cet article. D’où nous en famille, avons déduit qu’il s’agit bien d’une manipulation des ennemis de notre pays et de mon gouvernement car, Corona n’est pas capable d’écrire, d’elle – même, cinq lignes dactylographiés en français. Aujourd’hui son divorce d’avec son mari Lino, après avoir purgé une peine d’emprisonnement ( cinq ans ) en Bolivie par trafic de drogues, l’a certainement perturbé au point de perdre ses repères. Elle fréquente en plus une secte satanique ? j’en connais pas le nom de dite secte, mais son acharnement de faire croire qu’elle parle avec dieu et avec les morts, surtout après avoir fumé des « cartilages d’éléphant », me permet de penser qu’il s’agit d’un groupe d’illuminés qui se sont appropries de son esprit, moyennant les drogues. Il est vrai qu’âpres sa libération nous n’avons pas intégré le fait de passer cinq ans dans les prisons de Bolivie, premier producteur du monde de la feuille de coca. Cela ne pouvait finalement se passer sans des séquelles additionnelles que des gens sans scrupules son en train d’exploiter. Tout le monde sait qu’après les drogues la tête tourne. Il convient maintenant retourner à la disparition de mon frère Pancracio TOMO cela étant le sujet principal de cet article ridicule et nuisible. En effet, la disparition de mon petit frère Pancracio remonte à l’an 1995. Pour ceux qui cherchent a connaître la vérité sur ce, je fais savoir que sa disparition est la suite d’une longue maladie qui l’avait amené a me visiter au Sénégal pour se soigner. Parait – il, selon ses propres dires, qu’il serait entré dans un cercle fétichiste pour rechercher de postes de commandement, ce souvent des charlatans qui font miroiter l’accès à des « grands postes de responsabilité » aux gens naïfs s’ils remplissent certaines conditions souvent p.e. « donner » son frère, sa mère ou quelqu’un de la famille en échange de puissance etɔu d’argent dans la société. Alors mon frère, aurait exigé à ma mère d’aller « cueillir » la tête de mon père déjà décède, cet à quoi ma mère évidement avait refusé en y ajoutant que déjà mon père ne se donnait pas au fétichisme et que dans tout les cas « l’héritage » familial appartenait au frère aîné censé en faire bon usage pour toute la famille. Depuis, il menaçait régulièrement ma mère de mort. Dans sa recherche effréné du pouvoir il aurait participé ensuite à une « réunion » rituelle de laquelle il sortirait « blessé ». Ma mère m’avertit que Pancracio risquait de mourir car, ayant participé à des rites interdits à ma famille. Et en effet il tomba dans la folie n’ayant pas pu « payer » au marabout et faillit mourir. S’étant rétabli, je fit venir à Dakar pour prolonger ses soins et afin qu’il se repose de sa maladie. Il me demanda pendant son séjour à Dakar, après avoir subi toute sorte d’examens dans les hôpitaux, cliniques et laboratoires de Dakar, qu’il voulait voir des guérisseurs sénégalais. Au Sénégal il y a tout un village fondé par l’Etat, où sont concentrés sous l’égide d’un médecin, les meilleurs tradipraticiens du pays, je l’y amena. Le premier marabout visité fit savoir que Pancracio était endetté et que pour se sauver il devra amener une poule blanche à ma mère et ensuite lui demander pardon etc. ; gagné par l’incrédulité ( car, je ne crois pas beaucoup à ces choses ) je décida d’y aller consulter un autre marabout sur le champ, puis qu’il sont nombreux dans l’endroit, et comme par hasard l’autre arriva à la même conclusion que le premier. Devant tous mes frères je le questionna sur sa dette, il dit qu’il devait vingt cinq mille f.cfa. à quelqu’un. Plus tard, il m’à été rapporté qu’en fait, l’objet de son voyage au Sénégal était d’essayer de remplir « son » contrat cet – à – dire « donner » un ou plusieurs des frères car à cet époque toute ma famille était avec moi au Sénégal en train de poursuivre ses études. Au retour au pays il retomba dans sa maladie et c’est comme ça qu’il disparut. Le vieux « saltamontes » ainsi appelé parce que ancien boxeur, me raconta comment lui – même et ma mère s’étaient retrouvé dans le village de Bikurga en Evinayong pour essayer de soigner, chacun son enfant, tous deux atteints de la folie. Leur guérisseur, qui est toujours vivant s’appelait ESONO NSAMIO. Les amateurs des droits de l’homme peuvent aller vérifier. Voila c’est tout. Au fait d’autres vérités, je dois préciser que mon frère n’a jamais été médecin personnel du Chef de l’Etat, par la simple raison qu’il n’en avait pas le rang académique pour l’être. Pour pouvoir prétendre à ce privilège il faut au moins être cadre supérieur du corps médical, alors que lui, il n’était qu’un médecin assistant, le rang académique juste au dessus des infirmiers. Pour cet « écrivain » qui ne se connais pas dans les affaires académiques et écrit n’importe quoi, je précise que l’Académie de Médecine de l’URSS c’est ne pas le Centre de formation classique suggéré dans l’article, mais c’est bien une Académie de Sciences ou les étrangers ne peuvent séjourner. Les gens qui fréquentent ces lieux s’appellent académiciens. J’ai précisé plus haut, le parcours académique de ma famille ; l’intérêt de cet exercice était de confirmer à « l’écrivain » que nous sommes un pur produit du régime du président OBIANG NGUEMA c’est sous son égide que je me suis formé et sous lui et avec sa bénédiction j’ai gravi tous les échelons de l’Organisme International dans lequel je suis cadre. Successivement j’ai été cadre, chef de bureau, Directeur de Cabinet du Directeur Général, Directeur de l’Ecole Africaine de Météorologie et de l’Aviation Civile, Chef de Département Emplois et Formation et actuellement Représentant dudit Organisme ( l’ASECNA ) en Guinée Equatoriale. La provocation n’a pas passé. Et pour terminer, je voudrai présenter, au nom de toute ma famille et en mon propre, mes excuses tous ceux que cet article blesse, comme il nous a blessé très profondément, ces excuses s’adressent a tous les citoyens de mon pays à Madame Candida OKOMO qui est par ailleurs notre cousine, à Son Excellence Madame Constancia MANGUE de OBIANG et à Son Excellence OBIANG NGUEMA MBASOGO Président de la République pour cette lettre diffamatoire et traîtresse, j’ai été amené à publier ce démenti car, connaissant parfaitement les circonstances de la disparition de mon frère il n’était pas question de laisser cette provocation sans la réponse approprie. Laissez les morts se reposer en paix. Au nom de toute ma famille Cipriano José TOMO NGUEMA Fuente: Cipriano José TOMO NGUEMA El contenido de los artículos publicados no refleja necesariamente la opinión de la redacción de guinea-ecuatorial.net Véase también la declaración sobre el uso de seudónimosTwittear |
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