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Point de vue !

Par Melle Marie-Caroline DE MIREPOIX, Secrétaire aux Relations Internationales des F.R.R.A.G.E Chargée des Affaires Diplomatiques
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La revue espagnole […] dédiée aux pays d’Afrique ou du Tiers-Monde publiait, dans son numéro de mai-juin 2003, un factum signé par un ressortissant Equato-guinéen membre influent du PPGE (Partido del Progeso de Guinea Ecuatorial). Celui-ci accuse délibérément la France d’être responsable de tous les maux dont sont victimes les pays africains depuis la décolonisation.

Notre éminent rédacteur de circonstance fait preuve d’incohérence et d’amateurisme dans le regard qu’il porte sur les « relations franco-africaines » du XXème siècle. L’auteur de l’article en question est infichu de tirer une analyse objective des événements mondiaux de ces dernières décennies qui ont caractérisé ce que je pourrais qualifier de : « siècle africain des dictatures. »

L’auteur semble oublier que durant la guerre froide, le monde fut divisé en deux blocs : L’Est et l’Ouest. De ce point de vue, la défense des intérêts stratégiques occidentaux devenait une priorité absolue pour les grandes démocraties occidentales. Il s’agissait-là de la survie du monde libre et de nos valeurs démocratiques dont faisaient partie, non seulement la France et les USA, mais aussi, le reste de l’Europe occidentale, les pays africains dits modérés, l’Asie, le Proche & Moyen Orient, l’Amérique Latine… etc.

Comment minorer, que les « connaissances africaines » de la France lui ont values d’être en première ligne dans divers événements politiques africains ?

Et pourtant, les mêmes grandes puissances occidentales alliées (les USA en tête) de la France qui, pour ne pas être prises entre deux feux dans des conflits ethniques tiers-mondistes ou africains, n’ont pas hésité à lui confier des missions plus que délicates. Parfois, elles se contentèrent de laisser les Français gérer les conflits explosifs africains avec les moyens du bord.

C’est en tenant compte des mécanismes politico-ethniques de ce vaste continent et des problèmes socio-économiques auxquels ils sont confrontés au jour le jour que les États africains, se sentant abandonnés par les autres grandes puissances occidentales, se sont tournés vers la France ; pays qu’ils avaient toujours vu présent à leurs côtés aux bons comme aux pires moments.

Au sujet de l’adhésion de la Guinée-Équatoriale à l’UDEAC qui a rejoint la zone franc en 1985 et dont l´unité monétaire est le franc CFA, l’auteur de l’article oublie totalement la chaîne des événements : Lors du coup d’Etat sanglant qui porta au pouvoir M. Teodoro Obiang Nguema le 03 août 1979, il est connu que celui-ci avait remplacé l’Ekuelé, monnaie locale sous Macias Nguema, par les « Pesetas Guineanas » et ce, jusqu’en 1985.

Il convient de rappeler, que la première monnaie sous la 1ère République de Teodoro Obiang Nguema avait bénéficié de l’appui de l’Espagne, donc de la parité de la « Pesetas Española. »

En désaccord avec Madrid, le dictateur équato-guinéen qui soupçonnait déjà l’administration espagnole de soutenir l’opposition équato-guinéenne basée dans la péninsule ibérique, décida de narguer et de « punir » l’Espagne en faisant adhérer son pays, la Guinée-Équatoriale dans le giron francophone.

La plupart des notables de Mongomo en exil qui faisait partie de l’équipe gouvernementale de l’époque peuvent en témoigner, car beaucoup ont participé aux négociations monétaires.
En gros, c’est à la demande officielle des autorités de Malabo que la Guinée-Équatoriale a été admise dans l’espace économique francophone de l’Afrique Centrale.

Je considère indécentes les accusations grossières de l’auteur de cet article sur les prétendues ingérences françaises en Guinée-Équatoriale !! Sous le prétexte d’intérêts pétroliers et de je ne sais quoi…, l’auteur stigmatise la France d’Etat néo-colonial qui chercherait à « déstabiliser » le régime de Teodoro Obiang Nguema. Bigre !!!

Au fait, qui, en réalité joue au chat et à la souris avec les grandes puissances ?

M. Teodoro Obiang Nguema lui-même qui, pour demeurer l’éternel dictateur sanguinaire increvable, n’a pas hésité à faire de la Guinée-Équatoriale, la plaque tournante du trafic international de stupéfiants.

C’est ce même despote qui nargue depuis qu’il est au pouvoir Espagnols, Américains et Français sous l’autel des puits de pétrole. Pour se maintenir au pouvoir, il oppose les uns aux autres. Mais ce jeu dangereux a des limites !! Il finira par lui brûler les doigts. Le dictateur de Malabo ne pourra pas continuer indéfiniment cette sale besogne qui consiste à « diviser les alliés avides de l’or noir pour mieux régner dans le chaos. »

Ce qui m’a le plus sidérée dans les écrits de ce personnage, c’est le sectarisme dont il fait preuve vis-à-vis de M. Manuel RUBEN N’DONGO.

Lorsqu’un auteur ou rédacteur publie un article dans la presse, il doit s’assurer de détenir les preuves sur les éléments qu’il avance ! Hors dans cet article, l’auteur affirme que M. RUBEN N’DONGO est né à Evinayong.

Ce qui est faux !!!

En effet, M. RUBEN N’DONGO est né à Cucumancoc, petite bourgade coincée sur un sentier qui relie le District d’Evinayong à celui d’Aconibe. Cucumancoc se trouve à une dizaine de kms du District d’Aconibe et à une cinquantaine de kms du district d’Evinayong.

Sur le plan de la cartographie proprement dite héritée de la colonisation, aussi bien que sur le plan ethnique et socioculturel par rapport aux origines des différents clans qui composent la commune de Cucumancoc, à vrai dire, historiquement, les natifs de cette petite bourgade ont leurs arrières et arrière-grands-parents qui descendent du Nord et de l’Est de la partie continentale dont les aïeux venaient de la vallée du Nil et du Soudan. Et au regard donc de sa proximité naturelle avec Aconibe, nul ne peut donc contester à Cucumancoc son appartenance au District originel.

Écrire de telles absurdités dans une revue grand public, non seulement discrédite l’auteur, mais aussi, constitue un acte de félonie vis-à-vis de ceux qui sont morts en Guinée-Équatoriale du tribalisme politique.

C’est très curieux que ce personnage, pour ne pas se faire reconnaître du public auquel il est sensé s’adresser, signe son article en s’abritant sous les initiales D.N.B. C’est un camouflet. « DNB » ne nous est pas inconnu. Le personnage apparaît comme le promoteur politique du leader du PPGE puisqu’il exerce aussi des responsabilités importantes au sein de ce mouvement.

Il ne fait aucun doute que l’allusion faite par cet auteur pamphlétaire a un arrière goût tribal. En voulant faire passer M. RUBEN N’DONGO comme originaire d’Evinayong, ce personnage cherche sans doute à rallumer la « guerre tribale » entre les Fang Ocack et les N’toumou. Car Evinayong est réputé être la région où les Ocack sont les plus nombreux dont M. Bonifacio Ondo Edu était originaire.

En fait, ce qui vient d’être insinué à mots couverts par l’auteur pamphlétaire, c’est qu’il veut signifier, que « M. RUBEN N’DONGO étant originaire d’Evinayong, serait l’homme du porte flambeau qui chercherait à prendre une revanche pour porter au firmament les Ocack et par voie de conséquence, venger la mort de M. Bonifacio Ondo Edu…» Quelle mystification !

Il est bon de savoir, que M. RUBEN N’DONGO, non seulement n’est pas d’Evinayong mais aussi, qu’il n’est pas né dans cette ville comme l’affirme DNB. Enfin, RUBEN N’DONGO n’appartient pas à la famille de Bonifacio Ondo Edú.

Si ma mémoire est bonne, je crois savoir que M. Ondo Edú a laissé des enfants et de la famille directe, proche et éloignée qui, s’ils le veulent, sont bien placés pour « revendiquer l’héritage politique. » Alors, pourquoi chercher à tout prix à pervertir le débat politique autour du tribalisme et du régionalisme ?

Une telle pensée inique ne peut que nuire au bon déroulement du processus de pacification et de réconciliation nationale en Guinée-Équatoriale dont ce peuple meurtri a tant besoin !!

Contrairement aux leaders politiques que vous flagornez et qui nourrissent chaque jour des ambitions pour le pouvoir doublées d’une volonté inique de se venger contre tel ou tel groupe ethnique, sachez que M. RUBEN N’DONGO n’a pas cette mentalité archaïque et aigrie. Il se bat, non pas pour ses intérêts personnels, mais pour la bonne cause ; pour la vraie démocratie et pour le bien être de tous les citoyens sans aucune distinction. Il se bat pour une vraie réconciliation nationale ! Il se bat enfin, non pas pour privilégier telle ou telle région, telle ou telle tribu, mais pour toutes les ethnies & peuples qui composent la société équato-guinéenne et ce, dans la fraternité.

In convient de porter à votre connaissance, que M. RUBEN N’DONGO a une aversion en ce qui concerne toutes les formes de racisme, de tribalisme et de régionalisme !

Et en tant qu’homme public qui se bat pour sauvegarder les biens publics, communs à tous les citoyens sans distinction, M. RUBEN N’DONGO n’appartient à aucune tribu, à aucune ethnie puisqu’en tant que leader politique, il est sensé représenter l’ensemble de la population équato-guinéenne.

Enfin, vous mettez en doute la véracité d’ouvrages écrits en France par M. RUBEN N’DONGO et publiés par des Grandes Maisons d’Éditions notoires ? Au cas où vous en douteriez encore puisque ce doute forge votre instinct puéril, voici les coordonnées de ces maisons d’Éditions :

1-) Éditions l’Harmattan : 5-7, Rue de l’école polytechnique 75005 – Paris (FRANCE)

2-) Éditions des Écrivains : 147-149, Rue Saint Honoré 75001 – Paris (FRANCE)

Ce qui me désole dans le comportement de certains dirigeants politiques de l’opposition ou de certains individus se faisant passer pour de pseudo intellectuels, c’est la façon dont ils montrent leur incapacité d’analyse dans la réflexion politique.

Au lieu de concentrer leurs objectifs pour le devenir de leur pays dans le combat qu’ils mènent contre la dictature, une certaine loque de l’intelligentsia équato-guinéenne se permet de s’en prendre avec véhémence à des personnes qu’il ne connaît même pas

Il n’est pas dans les habitudes de M. Manuel RUBEN N’DONGO de s’en prendre aux hommes et femmes qui mènent le même combat politique que lui. Ses opinions concernant les autres mouvements politiques ou associatifs sont claires : ils sont tous frères et sœurs ! Il se refuse à tenir des propos inexacts ou vexatoires à l’égard de tel ou tel homme politique, de ses « expériences, ses compétences ou de ses éventuelles connaissances gouvernementales. »

Nous constatons seulement que depuis janvier 2003, c’est-à-dire, dès l’annonce de l’organisation à Paris d’un Colloque-Symposium International sur « les Fondements Démocratiques, Juridiques et Institutionnels de la République de Guinée-Équatoriale, » se mirent à fleurir dans la presse espagnole de violentes attaques visant tout particulièrement M. RUBEN N’DONGO.

Des attaques orchestrées par un noyau d’hommes politiques équato-guinéens vénaux déjà compromis avec certaines multinationales espagnoles auxquelles ils ont soutiré d’importantes sommes d’argent pour acheter des mercenaires en vue de renverser par la force le régime de Teodoro Obiang Nguema.

L’opération avortée en Angola où le PPGE était impliqué il y a quelques années en est la preuve.

Ce noyau de politiciens assoiffés de pouvoir, rappelons-le, est particulièrement sectaire et cultive la xénophobie et le tribalisme à grande échelle.

Il fort regrettable que ces rédacteurs d’infortune utilisent une certaine presse ibérique pour vilipender M. RUBEN N’DONGO.

Et pourtant, en 1990, pour des raisons personnelles, Manuel RUBEN N’DONGO, décida de quitter momentanément la scène politique laissant le champs libre à ces partis d’opposition de circonstances qui ne livrent leur combats politiques qu’au gré de leurs humeurs machiavéliques. Le but étant d’exercer d’ignobles chantages en vue d’obtenir auprès du dictateur de Malabo, un poste ministériel pour gueuletonner à longueur de journée et qui leur permette en même temps d’utiliser leurs prérogatives étatiques ou ministérielles pour réprimer et assujettir les populations.

M. RUBEN N’DONGO n’empêche personne de défendre ses couleurs politiques en Guinée-Équatoriale. C’est le peuple souverain qui a le dernier mot pour légitimer ses représentants publics. Alors, je me pose cette question : Pourquoi ces pléthores d’opposants n’ont-ils pas profité des douze années où M. RUBEN N’DONGO s’était retiré de la scène politique équato-guinéenne ?

Comme je l’ai signalé plus haut, M. RUBEN N’DONGO, en quittant momentanément la scène politique de l’opposition équato-guinéenne, s’est alors consacré à la sociologie politique et à la Littérature.

Ses études & Recherches en matière de « sociologie de la réflexion sociale » sur les politiques africaines ont essentiellement été orientées vers le développement de la culture, de l’économie et des sociétés africaines. A ce propos, il a publié en 1997 aux Éditions l’Harmattan à Paris, son premier ouvrage : L’AFRIQUE SUD-SAHARIENNE DU XXIème SIECLE dont les sujets les plus abordés concernent le développement économique de l’Afrique.
En janvier 2000, Manuel RUBEN N’DONGO publiait un second ouvrage aux Éditions des Écrivains à Paris : REGARD SUR L’IMMIGRATION AFRICAINE EN EUROPE. A la lecture de ce deuxième ouvrage, l’écrivain aborde des sujets tels que l’immigration clandestine africaine, la violence dans les banlieues, l’intégration, la laïcité dans l’école publique française…etc.

UN TRIBALISME AMBIANT QUI EMPOISONNE LA VIE POLITIQUE EN GUINÉE-ÉQUATORIALE…

DNB, xénophobe en chef aux accents belliqueux qui se présente comme un intellectuel équato-guinéen, s’arroge le droit d’écrire n’importe quoi sur un leader politique dans une revue acquise à sa cause, peut-il se permettre de contester aussi facilement à un fils de la Guinée-Équatoriale quel qu’il soit, le droit de se révolter contre la dictature et exprimer ses ambitions & perspectives pour son pays ?

La sympathie, l’admiration ou le mépris que l’on porte sur un individu que l’on ne connaît pas soi-même vient toujours de « ce qu’on a entendu dire. » Mais, un intellectuel avisé, n’a-t-il pas la capacité d’analyse pour se forger sa propre opinion ou son idée sur tel ou tel sujet de société, telle ou telle histoire racontée et entendue ici ou là ?

Cette « agression » gratuite et perfide venant d’un intellectuel archaïque, suiviste et aigri n’honore guère son quotient intellectuel car, mener une telle campagne de désinformation en ciblant un seul opposant, laisse planer le doute, puisqu’en Espagne, les leaders d’opposition équato-guinéenne sont pléthores.

Alors, pourquoi cet acharnement ? Parce que les écrits de ce pseudo intellectuel pas au-dessus de tout soupçon, ainsi que les scélérates confidences qui nourrissent ses propos bassement injurieux, participent à cette campagne qui font de Manuel RUBEN N’DONGO la « marionnette » de la France ?

A en croire l’article écrit par cet individu (cela ne vaut pas la peine de citer son nom) dans cette revue madrilène, la conspiration consiste donc à opposer les Français aux Espagnols et aux Américains en faisant passer M. RUBEN N’DONGO comme « l’homme des Français » en Guinée-Équatoriale. Et pour mieux grossir la farce, « notre fameux intellectuel » voudrait accréditer aux yeux des Espagnols et de ses lecteurs la thèse de « l’inexpérience politique » de l’homme des Français.

Notre intellectuel oublie seulement qu’un homme politique est crédible :

1-) Par rapport à ses convictions politiques

2-) Par sa capacité d’agir efficacement dans le bon sens

3-) Par son projet politique pour éradiquer la dictature, le tribalisme et le népotisme

4-) Par sa volonté inébranlable de rassembler le peuple tout entier sans aucune distinction raciale ou ethnique

5-) Par son projet économique permettant de sortir rapidement le pays de son état de sous-développement actuel

6-) Par son habilité diplomatique permettant de travailler avec tout le monde dans la bonne entente : Européens (Espagnols, Français, Allemands, Anglais…etc) tout comme Américains et ce, sans arrière pensée politicienne, sans sectarisme et sans aucune intention de nuire aux intérêts de qui que ce soit.

« Notre intellectuel et rédacteur d’un pamphlet » a également oublié de préciser, que ce qui diffère certains leaders politiques de l’opposition à M. RUBEN N’DONGO, c’est que ce dernier est à la fois, neutre et le benjamin de la politique équato-guinéenne. Car Manuel RUBEN N’DONGO n’a jamais eu de compromission ni de près, ni de loin avec les régimes dictatoriaux équato-guinéens.

Et il semble oublier que la plupart des leaders politiques qu’il veut propulser au firmament, devenus opposants de circonstance, ont par le passé, collaboré non seulement avec la première dictature de M. Francisco Macias Nguema mais également, ont été les vassaux de l’actuel suzerain de Malabo qu’ils conspuent aujourd’hui après qu’ils aient été nommés aux postes clés (Ministres, hauts fonctionnaires, proches collaborateurs…) pour servir la dictature.

Contrairement à certains leaders exilés dans la péninsule ibérique sans trimer et qui ne cessent d’aller frapper, à longueur de journées, aux portes des officines espagnoles pour obtenir l’obole sous le couvert de leurs engagements politiques, il est bon de savoir que M. RUBEN N’DONGO, pour gagner sa vie travaille et connaît le prix de l’argent gagné après un labeur bien fait. Il n’a jamais engagé la responsabilité économique de la Guinée-Équatoriale pour ses perspectives politiques. De même qu’il ne doit aucune dette à personne : ni à un gouvernement étranger, ni à une entreprise quelconque. M. RUBEN N’DONGO a les mains propres et libres.

Les positions politiques de M. RUBEN N’DONGO contrastent à bien des égards, avec celles de ces leaders-là qui, sans savoir comment ils procéderont pour y parvenir, se voient déjà en « habit de Président de la République » puisqu’ils promettent déjà monts et merveilles à ceux qui les soutiennent matériellement.

Dans l’hypothèse où ils arriveraient au pouvoir, des privilèges particuliers seraient donc accordés à leurs amis financiers. De tels actes sont contraires à la morale publique et à l’étique politique.

Contrairement aux amis politiques de « DNB, » les engagements politiques de M. RUBEN N’DONGO sont basés sur la transparence, la probité et la franchise.


Marie-Caroline DE MIREPOIX
E-Mail : lebaron12demirepoix@hotmail.com


Fuente: Melle M.C. DE MIREPOIX - FRRAGE Paris (FRANCE)

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