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Editorial

Guinée Equatoriale ”Boulimie législative” contre les libertés dans le monde (président FIDH)


publicado por: Magdalena ADA-ACURUBANG el 16/04/2004 0:56:21 CET

DAKAR, 14 avr (AFP) - 18h23 –
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Le président de la Fédération internationale des ligues des droits de l´Homme (FIDH), le Sénégalais Sidiki Kaba, a dénoncé mercredi à Dakar, une ”boulimie législative” contre les libertés, à l´occasion du lancement d´un rapport sur la situation des droits de l´Homme dans le monde.
”La lutte - légitime et nécessaire - contre le terrorisme est devenue un alibi qui permet aux Etats de s´engager dans une boulimie législative restreignant les libertés”, a déclaré M. Kaba, qui a présenté à la presse ce rapport intitulé ”Les défenseurs des droits de l´Homme à l´épreuve du tout sécuritaire”.
Le document est publié par l´Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l´Homme, qui regroupe la FIDH et l´Organisation mondiale contre la torture (OMCT).
”Dans une ambiance de tout sécuritaire, on a pu voir les Etats se départir des garanties qu´ils doivent assurer à l´ensemble des droits fondamentaux”, a affirmé M. Kaba, en estimant que ”le filon sécuritaire (permettait) aujourd´hui de criminaliser les défenseurs des droits de l´Homme”.
”En Afrique”, a-t-il ajouté, ”il n´y a pas besoin de prendre” des lois répressives contre le terrorisme comme excuse ”car l´arsenal répressif est déjà là, des lois fourre-tout qui permettent précisément d´arrêter tout ce qui bouge”.
”Les lois en Europe ont des répercussions en Afrique (...), qui mime et copie ce qui se passe de l´autre côté de la frontière”, a de son côté déclaré la vice-présidente de la FIDH, la Mauritanienne Fatimata Mbaye.
Selon elle, ”les lois répressives visent les défenseurs des droits de l´Homme en les considérant comme des terroristes”.
Les deux intervenants ont, durant la conférence de presse, évoqué les cas de violations des droits de l´Homme en Mauritanie où ”la répression est systématique”, selon eux, et au Sénégal, qui a ”connu des cas de régression des libertés”.
En Mauritanie, ont-ils rappelé, l´ancien chef d´Etat, Mohamed Khouna Ould Haidalla, a été accusé en décembre 2003 d´avoir préparé une tentative de coup d´Etat lors de la présidentielle du 7 novembre à laquelle il était candidat.
Au Sénégal, ont-ils dit, le journaliste Abdou Latif Coulibaly a été menacé de mort après la parution d´un livre critique sur les méthodes du régime au pouvoir.
Outre la Mauritanie et le Sénégal, plusieurs Etats africains sont épinglés dans le rapport de l´Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l´Homme.
Parmi eux figurent l´Erythrée, la Guinée Equatoriale, la Libye, la Somalie, le Cameroun, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Togo, la Tunisie, le Zimbabwe, l´Algérie ou encore la République démocratique du Congo, où les défenseurs des droits humains connaissent une situation allant de la ”répression absolue” à la ”répression ponctuelle”.
Le président de la FIDH s´est cependant réjoui, durant la conférence de presse, de l´entrée en vigueur de la Cour africaine des droits de l´Homme et des peuples, le 25 janvier dernier.
Cette cour constitue une première sur le continent, qui n´avait jusqu´alors jamais eu d´institution juridique exclusivement vouée à la défense des droits de l´Homme.

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Début de campagne timide dans l´indifférence de la population à Malabo

MALABO, 15 avr (AFP) - 9h18 –

Trois jours après le lancement officiel de la campagne électorale, la capitale équato-guinéenne, Malabo, ne manifestait pas d´engouement visible pour les prochaines élections législatives et municipales du 25 avril prochain en Guinée Equatoriale.
Pas de cortèges de véhicules, sirènes hurlantes, dans les rues, ni de manifestations euphoriques de militants: l´ambiance des législatives de 1999 et des municipales l´année suivante est bien loin.
Seules quelques affiches des différents partis rappellent que la campagne a débuté.
Le Parti démocratique de Guinée Equatoriale (PDGE, au pouvoir) est pour l´instant le seul à organiser des meetings aussi bien à Malabo que dans d´autres localités de l´île de Bioko où elle située, ou sur la partie continentale de ce petit pays pétrolier d´Afrique centrale.

Seuls, de rares véhicules de deux partis d´opposition sillonnent les rues de la capitale politique et appellent au mégaphone les habitants, indifférents, à voter pour eux le jour du scrutin.
”Nous ne faisons que remplir un rituel, nous savons déjà comment ces élections vont se terminer. La victoire du PDGE”, ironise une habitante de Malabo.
Treize partis officiellement reconnus participent à ces élections destinées à renouveler les 100 sièges du Parlement ainsi que les 244 conseillers municipaux des 30 municipalités du pays.
Huit des onze partis de l´opposition dite ”démocratique”, et appartenant en réalité à la mouvance présidentielle, ont décidé de former une ”Coalition électorale” avec le PDGE, comme ils l´avaient fait pour l´élection présidentielle anticipée de 2002, remportée avec 97,1% des suffrages par le président Teodoro Obiang Nguema, au pouvoir depuis 1979.
Quatre autres partis, la Convergence pour la démocratie sociale (CPDS), seul véritable parti d´opposition (dite ”radicale”) légal en Guinée Equatoriale, l´Union populaire (UP), la Convergence sociale démocratique et populaire (CSDP) et l´Action populaire de Guinée Equatoriale (APGE), se présentent sous leurs étiquettes.
Au siège de certains partis, les locaux sont vides. ”Notre lutte est essentiellement centrée sur la partie continentale du pays”, explique-t-on au siège de l´UP.
A la CPDS, un groupe de militants assis au milieu des cartons de matériel de propagande ”s´organise”, tandis que leurs responsables se ”concertent” sur les stratégies à adopter. Mais le président de l´APGE, Carmelo Mba Bacalé, parle déjà de ”blocage”.
”Nous avons été empêchés d´envoyer notre matériel de propagande à Annobon (île très isolée à plus de 600 km de Malabo). Tout était déjà dans l´avion lorsqu´on a tout descendu pour laisser la place au matériel du PDGE”, affirme M. Mba Bacalé, indigné.
L´ouverture officielle de la campagne, lundi, n´avait pas plus créé l´enthousiasme parmi les 90.000 habitants de Malabo, bien que la journée ait été déclarée fériée pour l´occasion.
A peine un millier de personnes, principalement des militants du PDGE, le ”grand parti des masses”, assistaient à la cérémonie de lancement présidée par le chef de l´Etat. Les militants des partis l´opposition ”démocratique” restaient eux invisibles.
”C´est à cause de la pluie, beaucoup de nos militants sont restés chez eux”, expliquait un responsable d´un de ces partis, vêtu d´un t-shirt jaune, frappés de la torche emblème du PDGE et de la photo du président Obiang.
Au micro, le secrétaire général de l´Union pour la démocratie sociale (UDS), membre de la Coalition électorale, a appelé ses militants à voter sans passer par les isoloirs.
”Nous allons voter publiquement. Même si le scrutin est secret, vous devrez respecter la discipline du parti et nous devons voter publiquement” pour les listes du PDGE, a lancé Carmelo Modu Acusé.

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Les mercenaires présumés vont demander leur relaxe et leur mise en liberté

HARARE, 15 avr (AFP) - 17h42 –

Soixante-dix mercenaires présumés, arrêtés en mars à Harare et accusés d´avoir fomenté un coup d´Etat contre le président de Guinée Equatoriale vont demander leur relaxe et leur mise en liberté, ont indiqué leurs avocats jeudi.
Les 70 hommes ont brièvement comparu jeudi devant une cour spéciale mise en place dans leur prison haute sécurité de Chikurubi, près d´Harare.
Cette cour a ordonné leur maintien en détention préventive dans l´attente d´une prochaine comparution le 23 avril.
”Nous allons déposer une requête le 23 pour que la cour rejette le maintien en détention qui ne se justifie pas”, a déclaré l´un de leurs avocats, Jonathan Samkange, qui a ajouté: ”nous voulons savoir pourquoi on les laisse là (en prison)”.
L´avocat a en outre estimé que si cette requête était acceptée, les 70 hommes seraient relaxés.
Marge Pain, épouse du Sud-Africain Ken Pain, mécanicien-navigant du Boeing 727 intercepté début mars à l´aéroport d´Harare avec la majorité des hommes à bord, a affirmé à la presse qu´en tant que simple membre d´équipage, ”il n´y a pas de raison” que son mari ”se trouve en prison”.
Les 70 hommes sont inculpés de possession et achat d´armes dangereuses, violation des législations sur les armes à feu, sur l´immigration et sur l´aviation civile. S´ils sont reconnus coupables, ils risquent la prison à vie.

Ils avaient été arrêtés le 7 mars à l´aéroport international de Harare et, selon les gouvernements du Zimbabwe et de Guinée Equatoriale, devaient rejoindre dans ce pays 15 autres mercenaires arrêtés à Malabo le même jour pour y fomenter un coup d´Etat contre le régime du président Teodoro Obiang Nguema.
Les suspects nient les accusations portées contre eux, affirmant qu´ils devaient se rendre en République démocratique du Congo (RDC) pour y assurer la sécurité dans une mine.

SOURCE : AFP



Fuente: Magdalena ADA - SERVICE PRESSE CRAMOEG

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