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Mañana viernes continúa el juicio de Harare, con posible sentencia publicado por: Celestino Okenve el 27/08/2004 0:00:10 CET
HARARE, 26 août (AFP) - 17h18 - Le procès des 70 mercenaires présumés, accusés par le Zimbabwe d´avoir fomenté un coup d´Etat contre le régime de Guinée Equatoriale, doit reprendre vendredi à Harare, avec l´éventuelle annonce du verdict.
Les 70 hommes, dont le cerveau présumé du complot, le Britannique Simon Mann, sont accusés d´avoir pris part à un complot déjoué en mars à Malabo, que Mark Thatcher, fils de l´ancien Premier ministre britannique Margaret Thatcher, inculpé mercredi en Afrique du Sud, est soupçonné d´avoir financé.
Le procès, entamé le 27 juillet, avait été ajourné deux jours plus tard au 18 août. La dernière audience en date, il y a une semaine, a été consacrée au réquisitoire et aux plaidoiries de la défense, marquant le fin des débats. Le président du tribunal n´a cependant pas précisé si le verdict serait rendu directement à la reprise de l´audience.
La reprise du procès de Harare intervient alors que 18 autres mercenaires présumés, arrêtés au même moment en Guinée Equatoriale, sont jugés à Malabo.
Le Sud-Africain Nick du Toit a admis cette semaine devant la justice équato-guinéenne qu´il avait assuré la logistique du complot et qu´il avait été engagé par Mann.
A Harare, l´un des avocats de la défense, Jonathan Samkange, a déclaré jeudi à l´AFP que les évènements de Malabo et du Cap ne devraient pas avoir d´incidence sur le procès de ses clients.
”Mes clients ne font face à aucune inculpation en relation avec le coup”, a-t-il souligné.
La justice zimbabwéenne n´est pas habilitée à juger les crimes commis hors du territoire national et ne se prononcera donc que sur les violations des lois locales.
Après leur arrestation à l´aéroport international de Harare où leur avion avait fait escale pour charger des armes, les 70 hommes avaient été inculpés de violations des lois sur la sécurité et les armes, ainsi que sur l´immigration et l´aviation. Ils risquent entre cinq et dix ans de prison.
Fuente: AFP
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